Tu t’es permis de le juger.
Tu t’es permis de le critiquer.
Tu t’es permis de me conseiller.
De le zapper, de le jeter.
Mais toi, qui es-tu ?
Pour qui te prends-tu ?
Mais toi, tu t’es vu ?
Et dire que je t’ai cru !
Du faux, tu es le maître
Tout est dans le paraître
Je regrette de te connaître
En moi, la rage tu as fais naître
Tu prônais la fidélité
Tu prônais l’honnêteté
De moi, tu t’es bien moquée
2014, à croire que j’ai rêvé.
M.M. – 01 septembre 2018
Ton poème est tellement vrai !!!